Index égalité femmes-hommes du Groupe TiffenCogé : 87/100.
Engager un chasseur immobilier est une initiative à prendre dans un projet d’achat immobilier à Paris. Mais il faut prévoir la commission du professionnel puisqu’elle sera exclusivement à votre charge. Il n’existe cependant aucune grille standard d’honoraires à respecter. Autrement dit, les tarifs sont libres. Ils peuvent être établis de quatre manières différentes. Les voici.
La rémunération au pourcentage
C’est le procédé le plus plébiscité par les chasseurs de biens pour calculer le montant de leur commission pour avoir trouvé le bien idéal en faveur de leurs mandants. Concrètement, les honoraires du professionnel équivalent à un certain pourcentage, entre 2 % et 6 %, du prix de vente du bien (prix TTC, mais sans frais de notaire). Plus la valeur de la propriété est élevée, plus le pourcentage baisse.
La rémunération au forfait
Cette méthode de tarification consiste à fixer un montant précis comme rémunération du chasseur. Son salaire n’est donc pas fonction du prix du bien, mais reste fixe, quelle que soit la valeur de la propriété acquise. Le procédé permet à son mandant de connaître à l’avance le coût de la prestation et ainsi d’anticiper une partie des charges liées à la transaction.
La rémunération au pourcentage fixe et variable
Elle concilie la rémunération au pourcentage fixe (en moyenne entre 2 et 3 % du prix du bien) et une rémunération variable après négociations. Concrètement, le chasseur gagne un supplément s’il parvient à appliquer un rabais sur la valeur de la propriété. Le bonus est alors calculé en fonction de la décote obtenue.
La rémunération en fonction du vendeur
En optant pour ce mode de tarification, le chasseur établit des prix différents selon l’origine du bien. Son intervention va coûter plus cher si la propriété appartient à un particulier que si elle est vendue par une agence. Toutefois, les tarifs restent dans la moyenne et oscillent entre 2 % et 6 % du prix du bien.
Notez que, quelle que soit la méthode de tarification appliquée par le chasseur d’appartement, il lui est formellement interdit de percevoir son dû sans avoir réussi sa mission. Le professionnel ne peut toucher sa commission qu’après la signature d’un acte de vente sur un bien qu’il a trouvé.
Vous faites le bon choix en faisant estimer votre appartement à Saint-Cloud par un professionnel. Le spécialiste peut procéder de cinq manières différentes pour déterminer la valeur de votre bien. Découvrez les grandes lignes de chaque méthode dans cet article.
La méthode par comparaison
Elle est aussi appelée estimation par le marché. Elle consiste à comparer les caractéristiques principales du bien à celles des propriétés récemment vendues. Elle traduit alors les exigences des acheteurs, les normes en vigueur dans le milieu de la construction et les tendances générales dans le secteur. C’est la méthode la plus usitée par les agents immobiliers.
La méthode par capitalisation des revenus
Elle se base sur la valeur locative du bien ou sur les retombées financières de sa mise en location. La valeur obtenue est ensuite capitalisée à partir d’un taux de rendement. Cette référence dépend de la typologie du bien, de sa localisation et du risque locatif existant. Cette méthode est surtout utile pour évaluer la rentabilité d’un investissement immobilier.
La méthode indiciaire
Elle consiste à appliquer un indice ou un coefficient de variation à une ancienne valeur du bien. La méthode est moins utilisée, car elle connaît quelques limites. En effet, sa fiabilité est fonction de la cohérence de la valeur de référence par rapport aux réalités sur le marché. Si celle-ci est trop ancienne, le résultat de l’estimation risque d’être faussé.
La méthode par les coûts de remplacement
Elle consiste à fixer le montant à engager pour la reconstruction à neuf du bien. Elle peut faire intervenir un coefficient de vétusté. Cet indice permet alors de déterminer l’usure de la construction selon son ancienneté. Cette méthode ne convient pas aux biens neufs, mais est très utilisée pour calculer les assurances habitations.
Les méthodes spécialisées
Ce sont celles qui sont appliquées par les experts immobiliers et établies dans la Charte de l’expertise en évaluation immobilière :
Les risques liés à un achat sur plan à Paris comme ailleurs sont nombreux. Il se peut que les travaux ne soient pas achevés ou même qu’ils ne commencent jamais. Mais il est possible d’éviter de telles situations. Pour cela, voici quelques conseils pratiques à adopter.
Vérifier la réputation du promoteur
Votre projet repose en grande partie sur les compétences, l’expérience et le savoir-faire du promoteur. Les risques d’échecs peuvent être plus importants s’il effectue son premier programme neuf. Il est alors nécessaire de s’informer au préalable sur la notoriété et sa réputation dans le milieu.
Étudier les tenants du projet
Le choix du programme neuf dans lequel investir est crucial. Prenez le temps de comparer les projets disponibles dans la région. Si besoin est, faites étudier chaque dossier par un spécialiste afin d’évaluer leur cohérence et leur faisabilité.
Juger de la pertinence de l’emplacement du bien
Le site où s’établira le projet est pratiquement la seule information tangible que vous pourrez vérifier concernant la future construction. Évaluez cet élément minutieusement afin de connaître l’environnement dans lequel se trouvera l’ouvrage. Cela vous permet aussi d’anticiper l’évolution de sa valeur.
Réaliser un suivi rigoureux des travaux
Une fois le chantier lancé, n’hésitez pas à réaliser souvent des visites du site pour constater de visu l’avancée des travaux. Vous pouvez aussi demander au promoteur de vous faire un compte-rendu régulier. En principe, cela fait partie de ses obligations.
S’informer sur les réglementations en vigueur
Bien avant de vous lancer dans une acquisition par VEFA, prenez connaissance des réglementations qui régissent la transaction. Si besoin est, faites-vous accompagner par un spécialiste tel qu’un agent immobilier afin d’éviter tout manquement et pour déceler tout abus de la part du promoteur.
Vous voulez acheter votre première résidence principale dans la capitale ? Vous répondez au profil du primo-accédant à Paris. Savez-vous que vous pouvez financer le projet par un prêt à taux zéro (PTZ) ? Pour autant, vous devez répondre à d’autres conditions pour être éligible à ce crédit aidé. Vous découvrirez plus de détails dans cet article.
1. Être primo-accédant
La première condition pour pouvoir bénéficier d’un PTZ en 2025 est de n’avoir effectué aucune acquisition immobilière durant les deux dernières années. Le statut concerne donc aussi ceux qui n’ont jamais été propriétaires auparavant.
2. Acquérir une résidence principale
Le PTZ doit financer l’acquisition d’une résidence principale. Autrement dit, vous devrez l’occuper au moins huit mois par an et l’utiliser comme tel au plus tard 12 mois après la concrétisation de la transaction ou la fin des rénovations.
3. Répondre à des conditions de ressources précises
Le prêt est octroyé sous condition de ressources. Cela signifie que les revenus de votre foyer ne doivent pas dépasser un certain plafond réglementaire. Il est possible d’effectuer une simulation de PTZ en ligne pour savoir facilement si vous répondez à cet impératif ou pas.
4. Choisir un bien neuf ou à rénover
À Paris, le PTZ doit uniquement servir à financer l’acquisition d’un bien neuf puisque la ville se trouve en zone tendue (A bis). De plus, le logement doit être issu d’un bâtiment collectif.
5. Contracter en même temps un prêt classique
Le PTZ n’est octroyé qu’à ceux qui ont contracté un autre crédit. Il peut s’agir d’un prêt immobilier classique ou d’un prêt d’accession sociale. Le fait est que le prêt à taux zéro ne couvre que 20 % à 40 % du coût de l’acquisition.