Index égalité femmes-hommes du Groupe TiffenCogé : 87/100.
Malgré des prix immobiliers qui ont légèrement baissé depuis 2023, les acheteurs recourent encore au financement de la banque pour entreprendre leur projet. Mais l’accès au crédit immobilier a été rendu plus difficile l’année dernière. Fort heureusement, les établissements financiers ont révisé leurs exigences depuis début 2024. Cela se manifeste par une baisse des taux d’intérêt et de l’apport personnel exigé aux emprunteurs. Détails dans cet article.
Des taux 1 % plus bas qu’en 2023
La différence entre les taux d’intérêt appliqués par la banque fin 2023 et ceux en vigueur actuellement n’est peut-être que de 1 %, mais elle est la bienvenue après près d’une année et demie de forte hausse. En effet, entre la mi-2022 et la fin de l’année 2023, les taux d’emprunt ont rapidement grimpé : de 1 %, ils sont passés à 4,5 % pour les crédits remboursables sur 25 ans.
Mais avec le recul de l’inflation, ils connaissent une diminution progressive depuis février 2024. En ce mois de novembre, ils se situent aux alentours de 3,5 % pour ce même type de prêt. La tendance baissière se chiffre alors autour de 0,10 % par mois.
Un premier apport moyen de 10 % moins élevé
La tendance à la hausse s’est également fait ressentir concernant l’apport personnel nécessaire pour obtenir un prêt. En effet, il représentait environ 10 % de la valeur du crédit avant 2022. Il était même possible d’en être exempté en proposant un bon dossier d’achat à la banque. Mais il s’est élevé à 25 % en 2023.
Toutefois, les établissements financiers ont aussi réduit leurs exigences sur ce point, car aujourd’hui, ce premier acompte équivaut en moyenne à 15 % du montant du prêt.
Quelle conséquence sur le marché ?
Avec des taux d’intérêt plus raisonnables et un apport personnel plus bas, le financement d’un achat immobilier à Paris par la banque est devenu plus accessible, notamment pour les primo-accédants. De fait, les prêts actuels sont moins chers. Ils peuvent même l’être davantage pour les mois à venir puisque la tendance baissière semble se poursuivre. Cela devrait apporter un nouveau souffle au marché de l’immobilier.
Avant de pouvoir réaliser une vente immobilière à Paris après une succession, il est impératif de faire appel à un notaire pour opérer et régulariser la transmission du bien. Pour autant, la tâche n’est pas forcément facile, notamment si la propriété est en indivision. Or, le notaire dispose d’une période limitée pour l’entreprendre. Explications.
En combien de temps doit-on régler la succession ?
Il incombe uniquement au notaire de rédiger les différents documents juridiques qui permettent de régler une succession après le décès d’un propriétaire immobilier. Toutefois, les bénéficiaires de la transmission peuvent impacter le délai de concrétisation de la démarche. En effet, d’éventuels litiges sont, par exemple, susceptibles de compliquer la tâche du notaire. De fait, une procédure juridique peut être nécessaire pour régler le contentieux. Or, cela risque de retarder la mise en place de la succession.
En outre, le notaire dispose normalement de six mois pour régler la succession. À l’issue de cette période, il doit pouvoir établir l’acte de notoriété qui présente tous les héritiers et l’acte de partage qui précise les quotes-parts de chacun sur les droits de propriété. Il doit aussi rédiger la déclaration de succession et la déposer auprès des services fiscaux. Le document est indispensable pour transférer les impératifs fiscaux relatifs au bien à son ou ses nouveaux propriétaires.
Quelle répercussion sur la vente ?
Plus la régulation de la succession sera retardée, plus la commercialisation du bien le sera également. Pour cause, la mise en vente de la propriété ne pourra se faire que lorsque l’acte de notoriété et l’acte de partage ont été établis. Ces documents désignent les nouveaux propriétaires du bien et leur offrent le droit d’en disposer.
Sur un marché locatif aussi tendu que celui de la capitale, il est plus que jamais important d’être réactif face aux autres candidats à la location. Pour faciliter la recherche de logement, voici quelques astuces pratiques à adopter.
1. Cadrer les recherches par des critères précis
Le premier réflexe à avoir dans la quête d’un nouveau logement consiste à établir des critères de choix précis. Identifiez le quartier le plus proche de vos centres d’intérêt. Déterminez les caractéristiques de l’appartement telles que sa surface et le nombre de pièces qu’il doit comporter.
2. Choisir les bons supports de recherches
Sur un marché aussi vaste que celui de Paris, mieux vaut recourir à internet pour trouver les bonnes annonces de location. Privilégiez les sites qui proposent des offres locales pour ne pas perdre de temps. Ils sont nombreux sur la toile et sont consultables par tous et à tout moment.
3. Utiliser les outils à disposition
Limitez votre champ d’investigation en utilisant les moteurs de recherche disponibles sur les sites d’annonces immobilières. Indiquez, par exemple, un quartier précis pour découvrir toutes les offres qui s’y rapportent. Recourez aussi aux alertes pour être informé en temps réel lorsqu’une annonce intéressante paraît.
4. Publier une annonce de recherche
Dans le cadre de la location d’appartement à Paris, vous pouvez faire paraître une annonce disant que vous êtes à la recherche d’un logement. Indiquez le type de bien qui vous convient ainsi que vos coordonnées, puis publiez l’annonce sur les réseaux sociaux.
5. Mandater un chasseur d’appartement
La dernière astuce et non la moindre consiste à solliciter l’aide d’un professionnel de la chasse immobilière. Grâce à une méthode de recherche éprouvée et à une parfaite connaissance du marché locatif parisien, il pourra dénicher rapidement un logement vacant qui répond à vos exigences.
En principe, pour vendre au prix, vous devez estimer le bien correctement, c’est-à-dire en alignant son prix aux valeurs courantes. Mais il est aussi possible d’éviter les rabais en provoquant le coup de cœur auprès d’un acheteur. Mais si recevoir une offre d’achat au prix est l’idéal, êtes-vous pour autant obligé d’accepter la première qui vous est adressée ? Réponses dans cet article.
Dans le cas d’une vente avec un mandataire
Décliner une offre au prix vous sera autorisé si vous avez signé un mandat simple avec l’agent immobilier qui a trouvé l’acheteur. Grâce à ce mandat d’entremise, vous êtes le seul à pouvoir choisir la personne à qui vous souhaitez céder le bien. De fait, la tâche du mandataire consiste uniquement à chercher des acheteurs et à évaluer leurs offres.
En revanche, un mandat par représentation ne vous laissera pas ce privilège. En effet, le mandataire pourra choisir à votre place la personne qui pourra reprendre le bien. Le plus souvent, il se tournera vers le premier acheteur qui fera une offre au prix. Il vérifiera toutefois que celui-ci propose un plan de financement cohérent.
Dans le cas d’une vente en PAP
Si la vente de votre appartement à Paris s’effectue entre particuliers, refuser une offre au prix sera plus compliqué. Pour cause, l’article 1583 du code civil stipule que ce type de proposition manifeste une vente « parfaite ». Dans les faits, cela signifie que les deux interlocuteurs (le vendeur et l’acheteur) s’accordent sur la valeur du bien et que cela est une raison valable pour entreprendre la transaction. Techniquement, vous devez donc accepter la première offre sans rabais que vous recevrez.
Néanmoins, vous conservez le droit de la refuser si vous justifiez votre décision par une raison valable. Vous pouvez notamment mettre en avant le manque de solvabilité de l’acheteur. Dans ce cas, vous pourrez vous tourner vers la seconde offre au prix ou à défaut, vers une autre proposition.