Les faux pas à ne pas commettre sont nombreux lors d’une estimation immobilière. Or, ils risquent de compromettre la réalisation de la vente dans de bonnes conditions. En voici d’autres à connaître et à éviter autant que possible.
1. Surestimer le bien en négligeant une partie de ses défauts
La surestimation est l’erreur la plus courante lors d’une estimation immobilière à Saint-Mandé. Elle peut survenir même lorsque la démarche est confiée à un professionnel. Elle survient surtout quand les défaillances du bien ne sont pas évaluées comme il faut ou pas en totalité. Conséquence, le prix qui découle de la démarche sera plus élevé que la normale.
Cette erreur va pourtant compromettre la vente en rallongeant le délai pour sa concrétisation. Elle va aussi engendrer de lourdes négociations de prix.
2. Sous-évaluer la propriété en méconnaissant ses atouts
À l’instar des défauts du bien, tous ses points forts doivent être pris en considération lors de l’estimation. Dans le cas contraire, la propriété risque d’être sous-évaluée, c’est-à-dire qu’elle sera proposée à un prix plus bas que la normale. Cela va faire perdre de l’argent à son propriétaire-vendeur, car il ne pourra pas négocier son prix à la hausse avec les acheteurs.
Ce type de situation survient le plus souvent par méconnaissance des atouts du bien. Cela s’explique par exemple lorsque le vendeur n’y a pas habité lui-même avant de le vendre ou s’il le revend juste après l’avoir acquis.
3. Mal estimer la valeur du bien en oubliant l’impact de son emplacement
Estimer correctement le prix du bien implique d’évaluer toutes ses caractéristiques. Mais certaines sont plus influentes que d’autres. C’est le cas de son emplacement. Omettre son impact va forcément fausser les résultats de la démarche, par exemple en négligeant l’importance de la desserte en transport et en commodités au niveau du quartier.
En outre, lorsque le bien est issu d’une copropriété, il faut en plus, prendre en compte sa situation au niveau du bâtiment. Cet aspect va ajuster le prix de l’appartement par rapport à celui des autres biens qui composent l’immeuble.